بحث حول ابن باديس باللغة الفرنسية
exposé: Ibn Badis
بحث مختصر بالفرنسية عن عبد الحميد بن باديس
est né le 4 Décembre, 1889 à 16:00. Sa naissance a été enregistrée le lendemain, jeudi 5 Décembre 1889, au registre des
naissances, vécut et mourut à Constantine , une ville dans le Nord-Est de l' Algérie . Cheikh Ben Badis était une figure emblématique du mouvement de réforme islamique en Algérie. Albelhamid Ben Badis était une ville bourgeoise vieille famille qui prétendait descendre des Zirides , un berbère dynastie musulmane fondée au 10ème siècle par Bologhine ibn Ziri .
En 1931, Ben Badis a fondé l'Association des musulmans d'Algérie oulémas . Il s'agissait d'un groupement national de nombreux érudits islamiques en Algérie à partir de perspectives différentes et parfois opposées et points de vue. L'Association serait une grande influence sur la politique algériens musulmans à la guerre d'indépendance algérienne. Dans la même période, il a créé de nombreuses institutions où des milliers d'enfants algériens de parents musulmans ont été éduqués. L'association a également publié un magazine mensuel, Al-Chihab et Ben Badis a contribué régulièrement à celui-ci entre 1925 et sa mort en 1940. Le magazine a informé ses lecteurs des idées d'associations et de réflexions sur la réforme religieuse et parlé sur d'autres questions religieuses et politiques. Ben Badis est décédé le 16 Avril 1940 à Constantine
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بحث موسع بالفرنسية عن عبد الحميد بن باديس
Abdelhamid Ben Badis (arabe :عبد الحميد بن باديس),
né le 4 décembre 1889 1 à Constantine, ville au nord-est de l'Algérie, et
décédé le 16 avril 1940 dans la même ville, était une figure emblématique du
mouvement réformiste musulman en Algérie. Abdelhamid Ben Badis était
le fils d'une famille de vieille bourgeoisie citadine, dont il revendiquait les
origines berbères remontant aux Zirides, dynastie
musulmane fondée au xe siècle
par Bologhine ibn Ziri.Il signait ses articles de
presse Abdul Hamid Ibnou Badis Essanhadji c'est-à-dire de la confédération
berbère Sanhadja.
Ben Badis fonda en 1931 l'Association des oulémas
musulmans algériens. C'est dans le mensuel al-Chihab qu'il publia, de 1925 jusqu'à sa mort,
ses idées réformistes qui concernaient tant le domaine religieux que politique.
Son éducation
Ben Badis a grandi dans un entourage pieux, ce qui fait qu’il a appris
le Coran à l’âge de treize ans. Il était alors
conformiste. Très jeune, il est placé sous le préceptorat de Hamdân
Benlounissi. Celui-ci a marqué durablement la jeunesse de Ben Badis, si bien
qu'il n’a jamais oublié son conseil: « Apprend la science pour l’amour de
la science, non pas pour le devoir ». Hamdân Benlounissi lui fit aussi
promettre de ne jamais devenir fonctionnaire pour le compte de l'État colonial
de l'époque, la France. Il est
aussi connu pour avoir toujours défendu les droits des habitants musulmans de Constantine.
À la mosquée Zitouna
En 1908, Ben Badis décide de commencer son premier voyage pour la
science vers la mosquée
Zitouna de Tunis qui était en ce temps-là un grand
centre de science.
À la mosquée Zitouna, son horizon commence à s’agrandir. Il aimait
prier allongé dans l'herbe. Il y rencontre beaucoup de savants qui ont
influencé sa personnalité et son orientation. Parmi eux, le cheik Mohamed Al
Nakhli qui a enraciné en lui l’idéologie de la réforme, comme il lui a montré
sa méthode pour comprendre le Coran. Il y avait aussi le cheikh Mohamed Al
Taher Ben Achour qui l’a guidé vers l'amour de la langue arabe. Quant
au cheikh Al Bachir Safer, il poussa Ben Badis à s'intéresser à l’histoire et
aux problèmes contemporains des musulmans, ainsi qu'à trouver une solution pour
repousser le colonialisme occidental et ses effets.
Après son retour en Algérie, il
commence aussitôt à enseigner à la mosquée Djamaa Al Kabir à Constantine. Mais ceux qui s'opposaient au
mouvement réformiste musulman, ont voulu l'interdire, ce
qui l’a poussé à partir de nouveau, mais vers le Moyen-Orient cette fois-ci.
À Médine
Après avoir accompli le pèlerinage à La Mecque et Médine, Ben
Badis y est resté trois mois pour donner des cours au masjid
al-Nabawi.
Il y rencontrera par la suite son ami et l’un des partisans du
mouvement réformiste musulman, le cheikh Mohamed Bachir El Ibrahimi. Cette
rencontre sera le point de départ de la réforme en Algérie,
puisque les deux se sont rencontrés et ont longuement discuté afin de mettre au
point un plan de réforme clair. Le cheikh Hussein Ahmed Al Hindi, résidant lui
aussi à Médine, lui a conseillé de retourner en Algérie qui avait besoin de
lui.
Sur la route du retour, Ben Badis visite la Syrie et la mosquée al-Azhar d’Égypte où il rencontra beaucoup d'hommes de
science et de littérature.
Son retour en Algérie
En 1913, Ben Badis retourne en Algérie et s’installe à Constantine où
il entame son travail d’enseignement. Il commence par donner des cours à la
mosquée, aux petits puis aux grands. Par la suite, il commence à développer
l’idée de fonder l'Association des oulémas
musulmans algériens.
En 1936, Ben Badis participe à la fondation du Congrès musulman
algérien (CMA). Ce dernier est dissous durant l'été 1937. La même année, Ben
Badis revient à la tête de l'Association des oulémas musulmans algériens. L’une
des préoccupations majeures durant cette période de la vie de Abdelhamid Ben
Badis était la lutte contre la répression qui s'abattait sur les patriotes
algériens et la dénonciation de la propagande fasciste et des agissements
antisémites. Tout cela, il le faisait en pratiquant son travail quotidien en
tant que journaliste.
En 1939, Ben Badis fonde un club de football dénommé MouloudiaOuloum de Constantine (MOC).
Le 16 avril 1940, Ben Badis meurt dans sa ville natale Constantine. Il fut enterré en présence de
20 000 personnes. Ses obsèques prirent l'aspect d'une gigantesque
manifestation anticolonialiste.
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